Les plus grands navets du cinéma

Ces films sont les plus grands parmi les plus nuls. Ils sont bêtes et ont connu un très grand succès. Apparemment il y a un public pour le navet même le plus débile.

Les tortues Ninja

Des tortues mutantes qui sont aussi spécialistes des arts martiaux surgissent des égouts et combattent les méchants.
C'était au départ une BD parodique de Daredevil, et qui est portée à l'écran. Elle a trouvé son public.

Mars Attack

Invasion de la terre par des extra-terrestres comiques et mauvais.
Autre parodie.

Bienvenue chez les ch'tis

Du niveau d'un téléfilm qu'on aurait réalisé sans conviction, des scènes d'actions impressionnantes comme celle du postier à vélo qui rentre dans une palissade, la moitié des dialogues est dans un sabir incompréhensible. Mais apparemment celà a plû à un public venu peut-être faire autre chose plus tranquillement sans être perturbé par les dialogues.
Dany Boom se plaint de ne pas avoir reçu de césar. Il faudra attendre que l'on décerne le césar de la plus grande daube de l'année.

Fantômas

Encore un personnage terrible dont la voix caverneuse faisait peur aux enfants.
Inutile de préciser que le personnage se faisait remarquer quand il allait au supermarché. Mais il avait à sont service toute une bande de sbires fidèles et tout dévoués à son étrange personne, et aussi mauvais que lui.

Le code De Vinci

Histoire abracadabrante et personnages invraisemblables. Scénario de bande dessinée: Jésus aurait eu une femme et une fille et une secte mystérieuse à pour tâche de protéger sa descendance. Un entremêlement de choses réelles mais mal connues et d'inventions tout à fait burlesques.
Malgré cela, de beaux décors sur une musique de fond inquiétante.

Evidemment le cinéma traîne le boulet d'avoir commis une quantité d'autres navets, la plupart se voulant des parodies, et qui ne ridiculisent que leurs auteurs. Citons encore la série des Screams par exemple.

Et oui, il y a un public qui se laisse aller à dépenser quelques radis quand on lui met une carotte devant le nez, et qui finalement devra regarder un navet.